3/17/2023

Lutter contre le perfectionnisme et faire taire la critique intérieure

~4 min de lecture
Une jeune fille console son amie qui est désemparée

Fais ce que tu peux, avec le temps et les ressources dont tu disposes.

C'est un dicton que j'ai répété à maintes reprises au cours de ma carrière entrepreneuriale. Il m'a aidé à mettre les choses en perspective et à surmonter les difficultés, qu'il s'agissait de gérer un client difficile, de régler les problèmes d'un employé ou de faire face à un manque de liquidité dans le compte de banque.

Mais même après 25 ans d'activité en tant qu'entrepreneure, le perfectionnisme refait surface. J'oublie le dicton qui m'a permis de traverser les périodes difficiles et je m'en veux de ne pas avoir réussi à le mettre en pratique.

Ma critique intérieure s'en donne à cœur joie

Le dernier incident s'est produit le 28 février, lors de notre soirée d'ouverture officielle. Une tempête de neige avait menacé de nous faire annuler ce jour-là, mais j'ai décidé d'aller jusqu'au bout, sans l'aide de mon partenaire, qui être auprès d'un proche souffrant de problèmes de santé. Heureusement, j'avais quelques bonnes amies qui m'ont aidée. J'ai soupiré de soulagement lorsque tout fut terminé !

Malheureusement, dans toute cette agitation pour préparer les choses, je n'avais pas remarqué que le grand plateau de charcuterie que notre traiteur avait préparé n'était pas là. Après avoir tout ramassé, je remettais certaines choses dans ma voiture lorsque que j'ai aperçu ce plateau, toute cette délicieuse nourriture, qui était restée bien au frais dans LE COFFRE DE MA VOITURE 😫!

Comme je ne peux jamais manger lors de mes propres événements, je n'avait pas remarqué que le plateau manquait sur le buffet. En tant que ancienne restauratrice, je m'efforce d'organiser des événements de premier ordre qui mettent en valeur les talents et les produits de notre région. Dans ce cas-ci, je ne pouvais qu'imaginer que mes participantes se sont demandés mais où est la viande !

Tout le monde avait été trop poli pour dire quoi que ce soit ! J'étais mortifiée.

Il m'a fallu une journée entière pour me remettre de ma honte. Finalement, j'ai écrit un courriel et j'ai offert un rabais à tout le monde. À mon grand soulagement, j'ai reçu des mots d'encouragement et d'appréciation pour mon honnêteté. Quelques personnes m'ont dit qu'elles n'avaient pas remarqué (vraiment ?), et l'une d'entre elles a trouvé cela drôle !

Pourquoi est-ce que je vous raconte cela ?

En partie pour vous donner de l'espoir si vous aussi vous luttez contre le perfectionnisme et demandez constamment à votre critique intérieure de se taire.

Parce qu'en tant que femmes, nous menons trop souvent une lutte acharnée contre le "qu'en dira-t-on". La critique vient trop facilement dans ce monde de médias sociaux. Une semaine après la Journée internationale de la femme, je suis tombée sur un rapport de Women of Influence sur le syndrome du grand coquelicot - la tendance à blâmer les femmes plus que les hommes dans les postes de direction. Pas étonnant que nous ayons peur de faire des erreurs ! J'ai déjà écrit sur le syndrome du grand coquelicot auparavant, me demandant même s'il était pire dans les petites villes et les zones rurales. Quoi qu'il en soit, il semble que nous ayons été élevées dans l'idée que nous devons être parfaites. Cela crée un environnement idéal pour que nos critiques intérieures deviennent des compagnes méchantes et incessantes.

En tant que femmes - dirigeantes, cheffes de famille, cheffes d'entreprise et, qu'on le veuille ou non, modèles - comment pouvons-nous mieux nous soutenir les unes les autres dans ce cheminement pour nous sentir à l'aise dans notre entreprise et dans notre identité de femmes ? Je crois que la réponse se trouve en partie d'admettre ouvertement quand nous n'avons pas été à la hauteur. Et c'est correct; la vie n'est pas parfaite ! Concentrons-nous sur les leçons que ces "erreurs" nous enseignent et allons de l'avant.

L'autre partie de la solution consiste à continuer à demander de l'aide et à s'entourer de personnes qui nous soutiennent. C'est l'un des objectifs de Consœurs en Affaires : créer un espace sûr pour les conversations sur l'entrepreneuriat, l'échec et la réussite, le partage sur les questions professionnelles et personnelles/familiales. Car nous savons qu'il est souvent impossible de parler des femmes d'affaires sans aborder leur situation familiale et les personnes dont elles s'occupent.

Gardez l'œil ouvert pour une nouvelle activité en avril où nous nous concentrerons sur tout cela et offrirons le soutien et les outils dont les femmes entrepreneures ont besoin pour surmonter et prospérer !

Entre-temps, nous vous invitons à vous joindre à nous pour notre premier 5 à 7 du printemps à l'Académie Shanthaly le mardi 28 mars.

Fais ce que tu peux, avec le temps et les ressources dont tu disposes.

C'est un dicton que j'ai répété à maintes reprises au cours de ma carrière entrepreneuriale. Il m'a aidé à mettre les choses en perspective et à surmonter les difficultés, qu'il s'agissait de gérer un client difficile, de régler les problèmes d'un employé ou de faire face à un manque de liquidité dans le compte de banque.

Mais même après 25 ans d'activité en tant qu'entrepreneure, le perfectionnisme refait surface. J'oublie le dicton qui m'a permis de traverser les périodes difficiles et je m'en veux de ne pas avoir réussi à le mettre en pratique.

Ma critique intérieure s'en donne à cœur joie

Le dernier incident s'est produit le 28 février, lors de notre soirée d'ouverture officielle. Une tempête de neige avait menacé de nous faire annuler ce jour-là, mais j'ai décidé d'aller jusqu'au bout, sans l'aide de mon partenaire, qui être auprès d'un proche souffrant de problèmes de santé. Heureusement, j'avais quelques bonnes amies qui m'ont aidée. J'ai soupiré de soulagement lorsque tout fut terminé !

Malheureusement, dans toute cette agitation pour préparer les choses, je n'avais pas remarqué que le grand plateau de charcuterie que notre traiteur avait préparé n'était pas là. Après avoir tout ramassé, je remettais certaines choses dans ma voiture lorsque que j'ai aperçu ce plateau, toute cette délicieuse nourriture, qui était restée bien au frais dans LE COFFRE DE MA VOITURE 😫!

Comme je ne peux jamais manger lors de mes propres événements, je n'avait pas remarqué que le plateau manquait sur le buffet. En tant que ancienne restauratrice, je m'efforce d'organiser des événements de premier ordre qui mettent en valeur les talents et les produits de notre région. Dans ce cas-ci, je ne pouvais qu'imaginer que mes participantes se sont demandés mais où est la viande !

Tout le monde avait été trop poli pour dire quoi que ce soit ! J'étais mortifiée.

Il m'a fallu une journée entière pour me remettre de ma honte. Finalement, j'ai écrit un courriel et j'ai offert un rabais à tout le monde. À mon grand soulagement, j'ai reçu des mots d'encouragement et d'appréciation pour mon honnêteté. Quelques personnes m'ont dit qu'elles n'avaient pas remarqué (vraiment ?), et l'une d'entre elles a trouvé cela drôle !

Pourquoi est-ce que je vous raconte cela ?

En partie pour vous donner de l'espoir si vous aussi vous luttez contre le perfectionnisme et demandez constamment à votre critique intérieure de se taire.

Parce qu'en tant que femmes, nous menons trop souvent une lutte acharnée contre le "qu'en dira-t-on". La critique vient trop facilement dans ce monde de médias sociaux. Une semaine après la Journée internationale de la femme, je suis tombée sur un rapport de Women of Influence sur le syndrome du grand coquelicot - la tendance à blâmer les femmes plus que les hommes dans les postes de direction. Pas étonnant que nous ayons peur de faire des erreurs ! J'ai déjà écrit sur le syndrome du grand coquelicot auparavant, me demandant même s'il était pire dans les petites villes et les zones rurales. Quoi qu'il en soit, il semble que nous ayons été élevées dans l'idée que nous devons être parfaites. Cela crée un environnement idéal pour que nos critiques intérieures deviennent des compagnes méchantes et incessantes.

En tant que femmes - dirigeantes, cheffes de famille, cheffes d'entreprise et, qu'on le veuille ou non, modèles - comment pouvons-nous mieux nous soutenir les unes les autres dans ce cheminement pour nous sentir à l'aise dans notre entreprise et dans notre identité de femmes ? Je crois que la réponse se trouve en partie d'admettre ouvertement quand nous n'avons pas été à la hauteur. Et c'est correct; la vie n'est pas parfaite ! Concentrons-nous sur les leçons que ces "erreurs" nous enseignent et allons de l'avant.

L'autre partie de la solution consiste à continuer à demander de l'aide et à s'entourer de personnes qui nous soutiennent. C'est l'un des objectifs de Consœurs en Affaires : créer un espace sûr pour les conversations sur l'entrepreneuriat, l'échec et la réussite, le partage sur les questions professionnelles et personnelles/familiales. Car nous savons qu'il est souvent impossible de parler des femmes d'affaires sans aborder leur situation familiale et les personnes dont elles s'occupent.

Gardez l'œil ouvert pour une nouvelle activité en avril où nous nous concentrerons sur tout cela et offrirons le soutien et les outils dont les femmes entrepreneures ont besoin pour surmonter et prospérer !

Entre-temps, nous vous invitons à vous joindre à nous pour notre premier 5 à 7 du printemps à l'Académie Shanthaly le mardi 28 mars.

Doreen Ashton Wagner
Doreen Ashton Wagner
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