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À notre dernier événement, plusieurs m’ont demandé : « Alors, comment ça se passe, l’enseignement? »
(Si t’as pas encore entendu ma dernière nouvelle à propos de mon poste d’enseignement à temps partiel, lis ça ici).
Sans réfléchir, j’ai ri et répondu : « Oh, tu sais ce qu’on dit… Fais attention à ce que tu souhaites! »
C’est là que j’ai réalisé : je vis un vieux rêve — enseigner au niveau collégial — et j’adore ça. Mais ça vient aussi avec quelques surprises… et quelques leçons d’humilité.
Honnêtement? Ça ressemble beaucoup à être une toute nouvelle entrepreneure :
« Hein — je ne savais pas qu’il fallait apprendre ÇA… »
« Ouf, c’est beaucoup plus de travail que j’imaginais… »
Entre apprendre une nouvelle plateforme en ligne, lire tout le matériel, et créer des activités engageantes (parce que personne ne veut de théories plates), j’ai vécu un parcours très semblable à celui de nos consœurs qui débutent en affaires.
1. Ego, assieds-toi.
Même après 27 ans comme entrepreneure, j’ai dû recommencer à zéro — et ressentir ce que c’est de ne pas savoir quoi faire. J’avais besoin de ce rappel : diriger avec empathie, pas avec des suppositions.
2. Peur, tu cries fort — mais tu n’as pas toujours raison.
Je t’ai dit dans ma dernière nouvelle que j’avais accepté ce poste d’enseignement pour plus de stabilité financière.
Et oui, comme plusieurs d’entre vous, je me suis laissée influencer par les manchettes alarmistes :
« L’économie s’effondre! Les temps sont durs! Préparez-vous! »
Alors je suis allée chercher quelque chose de “garanti”.
Et même si je ne regrette pas ma décision (j’aime vraiment enseigner), je vois bien que je me suis laissée distraire par la peur au lieu de me concentrer sur ce que j’avais déjà. Pas que l’économie ne soit pas préoccupante… mais parfois, il faut fermer les nouvelles et juste faire notre affaire.
Le referais-je? L’enseignement, je veux dire? Oui.
Mais peut-être un cours seulement, pas deux. Et surtout pas deux cours à la suite. Le même jour. (Franchement, à quoi je pensais?)
As-tu déjà dit oui à quelque chose que tu croyais vouloir… pour ensuite te retrouver avec une ou deux leçons surprises (ou cinq)?
Réponds-moi — j’aimerais te lire.
En sororité,
Doreen
À notre dernier événement, plusieurs m’ont demandé : « Alors, comment ça se passe, l’enseignement? »
(Si t’as pas encore entendu ma dernière nouvelle à propos de mon poste d’enseignement à temps partiel, lis ça ici).
Sans réfléchir, j’ai ri et répondu : « Oh, tu sais ce qu’on dit… Fais attention à ce que tu souhaites! »
C’est là que j’ai réalisé : je vis un vieux rêve — enseigner au niveau collégial — et j’adore ça. Mais ça vient aussi avec quelques surprises… et quelques leçons d’humilité.
Honnêtement? Ça ressemble beaucoup à être une toute nouvelle entrepreneure :
« Hein — je ne savais pas qu’il fallait apprendre ÇA… »
« Ouf, c’est beaucoup plus de travail que j’imaginais… »
Entre apprendre une nouvelle plateforme en ligne, lire tout le matériel, et créer des activités engageantes (parce que personne ne veut de théories plates), j’ai vécu un parcours très semblable à celui de nos consœurs qui débutent en affaires.
1. Ego, assieds-toi.
Même après 27 ans comme entrepreneure, j’ai dû recommencer à zéro — et ressentir ce que c’est de ne pas savoir quoi faire. J’avais besoin de ce rappel : diriger avec empathie, pas avec des suppositions.
2. Peur, tu cries fort — mais tu n’as pas toujours raison.
Je t’ai dit dans ma dernière nouvelle que j’avais accepté ce poste d’enseignement pour plus de stabilité financière.
Et oui, comme plusieurs d’entre vous, je me suis laissée influencer par les manchettes alarmistes :
« L’économie s’effondre! Les temps sont durs! Préparez-vous! »
Alors je suis allée chercher quelque chose de “garanti”.
Et même si je ne regrette pas ma décision (j’aime vraiment enseigner), je vois bien que je me suis laissée distraire par la peur au lieu de me concentrer sur ce que j’avais déjà. Pas que l’économie ne soit pas préoccupante… mais parfois, il faut fermer les nouvelles et juste faire notre affaire.
Le referais-je? L’enseignement, je veux dire? Oui.
Mais peut-être un cours seulement, pas deux. Et surtout pas deux cours à la suite. Le même jour. (Franchement, à quoi je pensais?)
As-tu déjà dit oui à quelque chose que tu croyais vouloir… pour ensuite te retrouver avec une ou deux leçons surprises (ou cinq)?
Réponds-moi — j’aimerais te lire.
En sororité,
Doreen
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