10/29/2020

Qu’est-ce qui rend les femmes entrepreneures résilientes?

~3 minutes de lecture
Fleur violette poussant parmi les briques

Un peu de contexte avant de vous expliquer pourquoi je pose cette question.

Je suis entrepreneur depuis 1998. Après avoir vendu notre entreprise familiale en 2016, je suis partie à la recherche de mon prochain défi. Je n’étais pas prête pour la retraite. Franchement, j’avais peur de m’ennuyer et j’avais peur de puiser trop tôt dans notre RÉER.

Alors, tout en travaillant sur à la pige ici et là, j’ai suivi des cours à l’université, pensant que je pourrais peut-être enfin obtenir la maîtrise que je n’avais jamais obtenu dans les années 80.

Étudier l’entrepreneuriat

J’ai commencé à étudier les théories sur la création d’entreprise, l’innovation et la façon dont les entrepreneurs créent la croissance économique et des emplois. Selon le monde académique, que faut-il pour être entrepreneur? Ce que j’ai trouvé me semblait trop abstrait, et limité à un regard un peu trop «big business». Cela ne ressemblait pas à ce que j’avais vécu dans mon entreprise.

Puis je suis tombée sur le travail de Dr. Barbara Orser et Dr. Catherine Elliott, toutes deux professeures à l’Université d’Ottawa. Leur livre The Feminine Capital The Feminine Capital m’a ouvert les yeux sur le langage de l’entrepreneuriat et pourquoi de nombreuses femmes (moi y compris) ne s’y accroche pas. Ce bouquin décrit en détail comment «l’identité entrepreneuriale» est très enveloppée dans l’imagerie masculine!

L’Entrepreneuriat féministe

C’est là que j’ai commencé mon parcours d’apprentissage de l’entrepreneuriat féministe. Je voulais en savoir plus sur les façons dont les femmes pensent et se comportent différemment en affaires. Je me suis inscrite à l’Université Royal Roads pour terminer une maîtrise en arts, études interdisciplinaires (« Master of Arts in Inter-Disciplinary Studies »).

Mon détournement COVID-19

En mars 2020, j’étais prête à déposer ma proposition de recherche de thèse axée sur l’identité entrepreneuriale des femmes propriétaires d’entreprises en milieu rural. Ensuite, bien sûr, la pandémie a été déclarée. Soudainement, l’identité entrepreneuriale ne me semblait plus si pertinente. «Qui diable se soucie de l’identité s’il n’y a pas d’entreprise?» j’ai pensé.

Recherche sur la résilience

Je me suis tourné envers la résilience et le concept de la survie des entreprises. Durant notre confinement du printemps 2020, j’ai lu autant que possible sur la façon dont les propriétaires d’entreprise survivent aux crises économiques et aux catastrophes naturelles. Parce que la pandémie était ces deux choses.

Maintenant, la question sur laquelle je me penche est “Quels facteurs affectent la résilience entrepreneuriale des femmes propriétaires d’entreprises rurales en situation de crise?” Je suis à peu près à mi-chemin du processus de collecte de données et j’espère publier les premiers résultats en mars 2021. J’ose espérer que les résultats aideront à créer des outils et des ressources pour nos Consœurs en Affaires. De plus, cela pourrait contribuer à éclairer les efforts de développement économique régional et même les politiques gouvernementales.

Je vous invite à consulter mon site officiel de recherche ici. Si vous souhaitez en savoir plus sur ce projet de recherche, veuillez nous contacter. Merci d’avoir lu tout le long!

Un peu de contexte avant de vous expliquer pourquoi je pose cette question.

Je suis entrepreneur depuis 1998. Après avoir vendu notre entreprise familiale en 2016, je suis partie à la recherche de mon prochain défi. Je n’étais pas prête pour la retraite. Franchement, j’avais peur de m’ennuyer et j’avais peur de puiser trop tôt dans notre RÉER.

Alors, tout en travaillant sur à la pige ici et là, j’ai suivi des cours à l’université, pensant que je pourrais peut-être enfin obtenir la maîtrise que je n’avais jamais obtenu dans les années 80.

Étudier l’entrepreneuriat

J’ai commencé à étudier les théories sur la création d’entreprise, l’innovation et la façon dont les entrepreneurs créent la croissance économique et des emplois. Selon le monde académique, que faut-il pour être entrepreneur? Ce que j’ai trouvé me semblait trop abstrait, et limité à un regard un peu trop «big business». Cela ne ressemblait pas à ce que j’avais vécu dans mon entreprise.

Puis je suis tombée sur le travail de Dr. Barbara Orser et Dr. Catherine Elliott, toutes deux professeures à l’Université d’Ottawa. Leur livre The Feminine Capital The Feminine Capital m’a ouvert les yeux sur le langage de l’entrepreneuriat et pourquoi de nombreuses femmes (moi y compris) ne s’y accroche pas. Ce bouquin décrit en détail comment «l’identité entrepreneuriale» est très enveloppée dans l’imagerie masculine!

L’Entrepreneuriat féministe

C’est là que j’ai commencé mon parcours d’apprentissage de l’entrepreneuriat féministe. Je voulais en savoir plus sur les façons dont les femmes pensent et se comportent différemment en affaires. Je me suis inscrite à l’Université Royal Roads pour terminer une maîtrise en arts, études interdisciplinaires (« Master of Arts in Inter-Disciplinary Studies »).

Mon détournement COVID-19

En mars 2020, j’étais prête à déposer ma proposition de recherche de thèse axée sur l’identité entrepreneuriale des femmes propriétaires d’entreprises en milieu rural. Ensuite, bien sûr, la pandémie a été déclarée. Soudainement, l’identité entrepreneuriale ne me semblait plus si pertinente. «Qui diable se soucie de l’identité s’il n’y a pas d’entreprise?» j’ai pensé.

Recherche sur la résilience

Je me suis tourné envers la résilience et le concept de la survie des entreprises. Durant notre confinement du printemps 2020, j’ai lu autant que possible sur la façon dont les propriétaires d’entreprise survivent aux crises économiques et aux catastrophes naturelles. Parce que la pandémie était ces deux choses.

Maintenant, la question sur laquelle je me penche est “Quels facteurs affectent la résilience entrepreneuriale des femmes propriétaires d’entreprises rurales en situation de crise?” Je suis à peu près à mi-chemin du processus de collecte de données et j’espère publier les premiers résultats en mars 2021. J’ose espérer que les résultats aideront à créer des outils et des ressources pour nos Consœurs en Affaires. De plus, cela pourrait contribuer à éclairer les efforts de développement économique régional et même les politiques gouvernementales.

Je vous invite à consulter mon site officiel de recherche ici. Si vous souhaitez en savoir plus sur ce projet de recherche, veuillez nous contacter. Merci d’avoir lu tout le long!

Doreen Ashton Wagner
Doreen Ashton Wagner
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